[ je veux jsute une derniere danse]
"j'ai longtemps parcouru son corps, effleurer cent fois son viage. J'ai trouver de l'or et même quelque etoiles en essuyant ces larme, j'ai apprsi par coeur la puretée de ces formes parfois je les dessine encore, il* fait partie de moi..."
Je vis a travers lui*, il* vit a travers a moi. Loin de mes yeux, ancrées dans mon coeur. tout nous separent, tout nous eloignent et malgrés tout si proches. On se manque, si vous saviez a quel point. Un vide, un trou dans la peau, dans le coeur et dans l'âme. Mais jamais on ne l'avouera par peur. Peur de se jettaient a corps perdu dans ce "nous", d'en perdre la raison. Nous avons connus la passion, la fusion, ne faire q'un pour deux corps. Ne pouvoir se suffir à soi sans l'autre. Unis pour bien plus que la vie. Deux ans on déjà filées, mais se n comptent pas. L'impression que nous nous sommes quitées hier. Ce "nous" c'est tout ce qe je possedait, tout ce que j'aimais, tout ce que j'etais. Tellement mal de vivre sans lui*, tellement peur de me reveiller un jour et de plus le sentir au fond de moi. Nous avons trop pour assumer aujoud'hui ce manque. Je t'aime tant que je te hais. Je te hais de ne pas avoir fait part de ton manque, je te hais de ne pas avoir dit que tu souffrais, que tu me pleurais, que je te manquais. Moi qui te l'ai tant reclamé, qui me suit tant acharnée pour te faire avoué. Il a fallu deux ans pour me le faire comprendre. Deux ans pour avouer ce que je n'ias su te cacher. deux ans pour comprendre qu'il a souffert autant que moi, qu'il a donner autant que moi alors qu'il aurait suffit d'un mot pour que l'on se retrouve. Je regrette tant de l'avoir laisser partir, d'avoir baisser les bras si prêt du but. Je m'en veux de n'avoir su lire en lui, aveuglée par mes pleurs. si j'avia su, j'aurais donner bien plus que ma vie, bien plus que mon âme pour le garder. Je n'ai qu'un envie aujoud'hui tout faire pour que nos chemins se retrouvent, tout faire pour lui faire decouvrir celle que je suis devenue. Celle qu'il a connu hier ne ressemble en rien a celle d'aujoud'hui
(le BAc ça ne me stresse plus... j'étais deja en Term l'an passé..)