[ Attendre que la peine devienne dérisoire ]
Tu me manques ma petite étoile. Bientot 3 mois qe tu es un ange. Pas un jour où je ne pense pas à toi. J'aimerais parfois te retrouver et avoir le temps de te dire tout ce que tu ne sais pas. Si sans doute le savais-tu, mais jamais je n'ai osé les prononcer ces mots si importants. Par pudeur sans doute, même avec certitude. Je parle sans cesse de toi, comme on parle d'un homme important. Pardonne-moi de ne jamais l'avoir considéré comme ma grand mère. Pardonne le moi. jamais je l'idée ne m'a été supportable de l'entendre se croire bien plus supérieure à tout. Jamais l'idée ne m'a été supportables. Bien sûr tu n'étais pas des plus saints, mais tu as toujours fais ce qu'il te semblait le plus important, le plus juste. Tu as tout fait pour réussir. Tu nous a appris qu'a force de volontè l'on finirait par posséder. Ce que j'admire le plus c'est ton courage, ton combat contre la maladie. Jusqu'à ton dernier souffle tu aruas chercher l'energie, la force de te relever. Tu ne te saurais jamais avoué vaincu. Tout celà tu l'as fait pour nous, pour nôtre amour, pour voir dans nos yeux la brillance de l'admiration. A mes yeux tu allais te relever mais ce ne fut pas le cas. Et même si parfois tes choix d'attendre la mort, parce que tu ne puvais plus, ne m'a jamais convaincue, je l'ai vu que tu étais éteinds. Ton esprit s'en était allé attendant que le corsp suive. Tu avais renoncer. Les premiers instants de ma découverte, je n'ai eu qu'une envie te secouer. Te dire que tu était égoîste, que tu n'en avais pas le droit. Avais tu pensé a nous? Rien qu'une seconde imagineant ce que serait la douleur de te perdre. Puis finalement, non tu n'étais égoiste. Bien sûr que tu avais pensé la douleur de ta perte à nos yeux. Sa je l'ai su quand elle m'a dit que tu t'etais presque excuser face à elle lui expliquant que tu ne pouvais plus. "Je suis arrivèè au bout, je ne peux plus, je n'ai plus de force." Voilà sans doute quels ont été tes mots. Bien sur je te pardonne. Bien sure que j'ai compris que ton départ était le plus beau cadeaux de la vie pour te liberer de la maladie, du devoir de resister a la maladie qui t'enlevait ta vie. Tu me manque. Tu es mon étoile, ma petite étoile dans la peau...Tu continues a vivre à travers chaque battements de mon coeur. Je te porteais au plus haut de ma vie, au lus haut de mes souvenirs tant que je le pourrais. Sache que jamais je ne laisserais personnee ternir ton si grand souvenirs.
"Tu sais que j'ai du mal encore a parler de toi. Il parraît que c'est normal, ya pas de régle dans ces jeux là .Tu sais, j'ai la vois qui se sert quand je te croise dans les photos[...]J'aurais aimé que mon chagrin ne dure qu'un instant et tu sais j'espere au moins que tu m'entends[..]On m'a dit qu'il fallait attendre que la peine devienne dérisoire. C'est comme ça..."