[il y a ton sourire...]
Il y a ton sourir qui s'élève, c'est comme une luer d'espoir. il y a l'ombre et la lumiére, au milieu , notre trajectoire. Il fallait choisir une route alors on a chosit la pluie, acide a s'en bruler le coeur pourvu que planent nos esprits. Il y a tes yeux qui me tue quand tu me dis que c'est finit. Il y a le vent de nos sanglots qui souffle pour une amnisitie. Mais rien n'arrêtera la lutte,rien ne sechera cette pluie, non rien ne finira la chute car rien ne finit l'infinit.. Rien ne desserrera nos mains, rien n'eteindra l'ephemere, nous forcerons, oui nous forcerons le destin, et puis nous percerons les mystéres. Il y a les lois de l'Empire, et les trous noirs dans la mémoire. Il y a le meilleur et puis le pire au milieur notre trajectoire. combien tu vends ta liberté, combien tu vends ta poésie? Moi j'ai même vendu mn âme au diable juste pour ton sourire. Puisque tout est aleatoire, dasn le chaos de l'univers. Puisqu'insoluble est la reponse, et puisque deja mem manque l'aire. Mais qu'importe les directions, touts les chemins menent a tes yeux, tout les chemins menent a la fuite. Rien ne desserrera nos mains, rien n'eteindra l'ephemere, nous forcerons nos destins, nous percerons les mysteres. Rien ne desserrera ces poings, l'univers, l'univers...Nos idées et puis l'univers. Il ya ton sourire qui s'eleve c'est comme une lueur d'espoir. il ya l'ombres et la lumiere, au millieu, notre trajectoire. Oui il fallait choisir nos routes, alors on a choisi les pluies, acides a s'en brûler le coeur, pourvu que planent nos esprits.
Il y a ton sourire
Damien saez
Boulversant.J'en bois chaque paroels. Je m'impregne de son odeur si delicate. elle me touche, me parle comme si elle m'etait destiné. j'aurais voulu l'ecrire, le pensé et façonnée de tout mots. Ressentir cette sensationde passion, de souffle de vie qui s'incruste dans chque paroles. Ce texte est merveilleux...Si "tout" qu'on a du mal a la croire réel. C'est la perfection, ma perfection.Je me soule un pue plus a chaque ecoute mais c'est tellement bon que je ne peux m'en passer.Une verotable drogue.
(Tout comme "J'veux qu'on baise sur ma tombe", tout comme la majorité des oeuvres de Saez...)