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C'est un temps qu'on ne reconnait plus, des mots qui s'éffacent des mémoires, de belles promesses qui nous permettaient d'avancer, qui ont laissées de belles cicatrices, des plaies s'ouvrant au moindre coup des souvenirs, suffit d'une chanson, d'une heure sans rien, où l'esprit prend possession du corps, t'es assises quelque part et tu revis en silence ces jours d'avant, ces hiers qui sont mort d'avoir été raté, j'entasse les erreurs, j'entasse les non dits, alors j'arrive à un jour où je ne comprend plus rien, ce que je suis ce que je veux, j'avais des rêves avant, des buts, mais après tout qui saurait me dire avant quoi, je suis moi même incapable de donner un point de départ à cette chute sans fin, il me semble que les choses sont ainsi depuis toujours, je me souviens des maux, je me souviens de ma maladresse, je me souviens du noir et du sombre, j'ai oublié les couleurs de mes souvenirs, c'est comme si mon esprit était un journal, les archives sont remplit de flaschs noir.
Il y a des distances mentales plus forte que les distance physique.
il y a l'attente et les silences.
J'ai beau cherché, j'ai beau crié rien ne bouge, plus personne ne semble vouloir s'aretter ici bas. Alors c'est peut être à ce moment là qu'il faut se rendre compte que c'est finit? Quand notre présence s'éfface dans l'indiférence de leurs esprits.,
Je voulais juste qu'on ne m'éfface pas trop vite.
H.O.S
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Je suis en admiration devant tant de talent.