Mercredi 11 février 2009 à 12:52

[Petite histoire de citée U]

 

Comme vous le savez ou pas, je vis en cité U. Ouaaa je vois de suite votre envie ! Sa m’étonne pas ! Qui ne rêve pas d’un 9m carrée coté jardin ?! Tous, on en voudrait un ! Moi je l’adore mon 9m carrée, malgré tout. Et je ne le cesserais pour rien n’au monde.

Mais le bonheur de la cité U, c’est qu’il n’y a que là bas qu’on voit toute sortes de choses plus au moins cocasse.

La dernière en date, et non la moins drôle, le copain de ma  voisine est sortit en caleçon chaussettes longues blanche aller faire sa douche. Aussi, il y a peu, pendant deux mois on a eu l’eau froide pour la douche. Moi, je pensais que y avait qu’en Russie, que l’eau froide en hiver existé… Un jour au réveil, je vais à la douche et là j’aperçois un couple foncé dans la douche à ma place et en croisant l’un deux, il me dit bonjour comme si de rien n’était… Genre j’ai même pas vu, que on t’avais pris ton tour à la douche.

Lors de ma 1er année, j’ai croisé pour la 1er fois sortant de la douche tout nu, à 1H30 du matin, alors que vous, vous étiez levez pour lui demander de faire moins de bruit.

Parfois, ma voisine chérie, pas la même que celle des chaussettes caleçon, décide de ranger ou  de déménager tout son 9m carrée à 2h du matin. Sinon ; si ce n’est pas la voisine, c’est le voisin qui croit que on peut mettre la musique super fort à n’importe quelle heure parce qu’on est tous insomniaques et  le rap j’adore ça comme berceuse ou réveil^^

 

Et j’ai fais un investissement : des boules Quies !!! Ils sont oranges, ils sont magnifiques et surtout quand on les mets avec de la chance on rencontre le silence !
 

Mais j’aime bien ma cité U. Même si parfois, je l’échangerais  bien avec un 80m carrée en centre ville, comme on certains…

 Mais mon 9m carrée, j’ai des tonnes de souvenirs de dedans, surtout un des meilleurs de ma vie, des très mauvais aussi.  Des tonnes de souvenirs dans un si petit endroit.

Un 9m carrée coté jardin qui fait partie intégrante de ma vie depuis 2 ans.

Biens sure parfois je le peste, parfois il m’énerve, et j’aimerais bien un lave vaisselle, une machine a laver, une connexion Internet... Mais quand je le quitte, il me manque ! Parce que c’est mon paradis, c’est mon coin de repos, de retrouvailles avec moi-même. Puis c’est ma villa comme j’aime l’appeler !
 

Publié par littlestarintheskin

inspiration

Mardi 30 décembre 2008 à 21:26

[Intrusion]
 
Elle surveille chaque pas que je fais. Elle regarde chaque pas de ma vie. Elle regarde chaque failles de ce que je suis. Mais je n'ai plus de failles. Cesse d'épier. Dites lui vous qu'elle n'y trouvera rien de bien, rien de bon. Sa ne vous ai jamais arrivez de vous sentir epiez comme cela, de sentir un regard sur chaque chose que vous faites. Comme une sensation de vous contenir, de ne pas pouvoir être vous même parce qu'il y a ce regard qui censurera. Ce regard qui coupera tout ce qui déborde. Mais tout ce que je suis déborde, mes écris, ma vie, mes choix. Rien ne rentre, tout doit être coupé. Bien sur il n'y a jamais de preuves veritable de surveillance. Juste un voile, juste assez de présence pour vous le faire ressentir. Juste assez pour être de trop mais ne surtout pas laisser de traces. Je ne saurais contenir ma vie...

Publié par littlestarintheskin

inspiration

Dimanche 28 décembre 2008 à 19:21

she play with the life but that one day the life will play with her...

"Elle joue avec la vie mais un jour la vie jouera avec elle"

[by me]

Publié par littlestarintheskin

inspiration

Dimanche 21 décembre 2008 à 23:29

[La débacle des sentiements]

Bien sur que je le lis ce monde. J'aime le feuilleter, le regarder, l'étudier dans ces moindres recoins. Non bien sur les mots qui y sont ne me font plus rien.
J'ai tout surmonter la tête baissée alors si je redescend la côte, sa sera la tête haute.
Les mots ne me touchent plus parce que je les apprivoisées depuis longtemps. Je les connais d'avance. Je les sais. Je pourrais vous les dicter bien avant leurs arrivés. Je pourrais même les connaitre avant qu'ils soient penser. Je les connais bien trop pour qu'ils me surprennent encore. Bien sur il font naitre des questions, mais elles sont aussi prévisibles que les mots. Parce qu'ils ne sont fait que pour moi ces mots, uniquement pour moi.  Sinon pour qui sont ils fais? Personne. Qui prendrait le temps, autant de temps que moi a les lire? A les apprivoiser, à les connaitre par coeur au point de les prèvoir? Personne. Mais sa me plait, cette importance que me donne les mots. Parce que les mots sont à mes yeux ma bouée! Mes mots ils me sauvent, ils sont ce que je suis vraiment. Ils sont arrivées dnas ma vie  a un moment où j'avais le plus besoin d'eux. Les mots ils m'ont sauvé, m'ont empecher de me tuer. Oui a ce point! Ils m'ont empecher de me tuer. Parce qu'ils sont arrivées dans ma vie a une époque où j'ai eu le plus besoin de parler mais où je ne le pouvais pas.
Alors bien sur que je lis ce monde. J'aime le feuilleter, le regarder l'etudier dans ces moindres recoins. Non bien sur les mots qui y sont ne me plus rien. Sa bien sur, ils le savent, alprs ils jouent avec les mots, avec ce monde.... Mais je sais les mot,s je sais les prèvoir, les penser, les aprivoiser avant même leurs arriver. Ils ne me suprennent plus. Et je le sais ils sont uniquement là pour moi...

Publié par littlestarintheskin

inspiration

Samedi 18 octobre 2008 à 19:31

Je l'observe. Casque sur les oreilles, bloc note, stylo. Elle ecrit. Elle noircie pages après pages de ces mots, de ces ratures. Je l'observe. En vient à découvrir une ecriture lisse. Les mots s'enchainent sur le papier aussi vite qu'ils arrivent à son esprit. Je me prête à me dire qu'elle me ressemble cette jeune fille. Sans doute comme moi elle ne sait pas ce passer de l'ecriture. Celà se sent dans ces mots, dans sa vitesse avec laquelle elle s'applique a deferler les mots sur son cahier. Ecrire n'importe où est aussi un syndrome des vrais accros des mots. Ecrire n'importe où mais pas sur n'importe quoi. Le plaisir du papaier, du stylo souvent toujours les mêmes d'ailleurs. Ecrire un rituel pour calmer des mots qui finiraient par nous ettouffer.Voilà sans doute ce qui se produirait si ej n'ecrivais pas, je croulerais sans les mots. Peut importe que je le fasse correctement ou non, peut importe que l'on me lise ou non, il me fais ecrire. Poinr final ou de suspension, je ne sais pas. tout cela peut sembler si abstrait, si inconcrêt. Pourtant parfois rien ne vaux a mes yeux que d'ecrire, peletonner enrouler dnas mon echarppe avc une tasse de thè fumante. Rien ne vaut a mes yeux le plaisir et parfois l'angoisse de l'inspiration. De temps en temps on se demande pourquoi on ecrit? Question de tout les doutes, mais pourquoi finalement j'ecrit? Quelle serait ma reponse à cette question?
[...]
J'ecris pour continuer de vivre quand je commence ma survie. J'ecris pour trouver le peur d'energie qu'il me reste. J'ecrit pour m'evader. E parfois simplement pour le plaisir de l'ecriture et de l'invention. Cette jeune fille observait été dans mon tram ce midi. Elle m'a refleté, elle m'a émue par le simple fait de la voir ecrire. De la sentir s'appliqué dans son ecriture qui lui semblait si vital, comme un rituel qui lui semblait si vital, comme l me semble a cet instant ou mes derniers mors de cert article se posent sur cette feuille. C'est un rituel qui non pas me semble mais m'est vital.


Publié par littlestarintheskin

inspiration

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | Page suivante >>

Créer un podcast